un dessin là juste posé pour essayer de comprendre la profondeur de champ dans un dessin. Tout n'est qu'affaire de clair et d'obscur.
Je reviens sur ce dessin pour mettre le doigt sur une chiure visuelle qu'on appelle un trait parasite.
En effet, en premier plan, le petit caillou à grande gueule a, sur la face, un trait vertical qui est (presque) dans la continuité visuelle du bord vertical de la falaise en arrière plan. Ce qui crée le sus nommé parasitage de l'image en risquant de mélanger visuellement caillou et falaise, premier plan et arrière plan.
Comme quoi, un simple dessin peut passer très facilement de l'oeuvre d'art parfaite et digne de tous les livres d'histoire de l'art et des meilleurs émissions d'art-intello-à-la-mode de france inter, à une sombre bouse digne d'un scénariste Dyslexi-myope tentant vainement de se faire passer pour un brave, courageux et néanmoins désinteressé dessineux de BD.
A bon entendeur, bye et bon tout.
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