Et là je reviens bronzé et détendu de la tête et des crayons.
J'ai aussi une pensée pour un type qui dessinait comme il faisait de l'humour. Il y a allait à fond au risque de se planter.
Mais au moins il fonçait là où on reste trop souvent polis et prudents.
Bye et bon paradis à ce grand couillon de Coyote.
Mes festivals vont être bien tristes sans lui...
Et une première bd.