Un lundi ensoleillé de plus!
Etant en vacances il n'y aura que le minimum syndical: Une planche.
En tout cas, voici la suite des aventures de Boby (Non! Y a pas deux "b" chez les cailloux) et George.
Comme quoi les histoires d'amour romantiques ont toujours besoin d'un peu de porphyre pour s'immortaliser. L'oncle Starbuck Robert n'est toutefois pas d'accord avec ça... Tant pis pour les gravillons qui l'ont pas encore compris.
(1) Inutile de chercher dans le dico, ou sur wiki.... en fait, je suis juste scénariste de bandes dessinées.
Mais comme, apparemment, peu de gens savent ce que c'est qu'un scénariste de BD, j'ai inventé un nom pompeux aux consonances de grand savant... ça ajoute du mystère à ce métier bizarre...
Qui suis-je ?
lundi 27 octobre 2014
lundi 20 octobre 2014
Interlude au champignon noir
Et pour ce lundi, un premier interlude.
un dessin là juste posé pour essayer de comprendre la profondeur de champ dans un dessin. Tout n'est qu'affaire de clair et d'obscur.
Je reviens sur ce dessin pour mettre le doigt sur une chiure visuelle qu'on appelle un trait parasite.
En effet, en premier plan, le petit caillou à grande gueule a, sur la face, un trait vertical qui est (presque) dans la continuité visuelle du bord vertical de la falaise en arrière plan. Ce qui crée le sus nommé parasitage de l'image en risquant de mélanger visuellement caillou et falaise, premier plan et arrière plan.
Comme quoi, un simple dessin peut passer très facilement de l'oeuvre d'art parfaite et digne de tous les livres d'histoire de l'art et des meilleurs émissions d'art-intello-à-la-mode de france inter, à une sombre bouse digne d'un scénariste Dyslexi-myope tentant vainement de se faire passer pour un brave, courageux et néanmoins désinteressé dessineux de BD.
A bon entendeur, bye et bon tout.
un dessin là juste posé pour essayer de comprendre la profondeur de champ dans un dessin. Tout n'est qu'affaire de clair et d'obscur.
Je reviens sur ce dessin pour mettre le doigt sur une chiure visuelle qu'on appelle un trait parasite.
En effet, en premier plan, le petit caillou à grande gueule a, sur la face, un trait vertical qui est (presque) dans la continuité visuelle du bord vertical de la falaise en arrière plan. Ce qui crée le sus nommé parasitage de l'image en risquant de mélanger visuellement caillou et falaise, premier plan et arrière plan.
Comme quoi, un simple dessin peut passer très facilement de l'oeuvre d'art parfaite et digne de tous les livres d'histoire de l'art et des meilleurs émissions d'art-intello-à-la-mode de france inter, à une sombre bouse digne d'un scénariste Dyslexi-myope tentant vainement de se faire passer pour un brave, courageux et néanmoins désinteressé dessineux de BD.
A bon entendeur, bye et bon tout.
lundi 13 octobre 2014
Roti de reflexions mal fagottées
Ok il pleut toujours et il fait froid aussi.
Mais le chauffage va être mis dans les bâtiments publiques. Ce qui est un plus pour tous ceux et toutes celles qui se battent vainement avec des radiateurs récalcitrants depuis la fin de l'automne et le début d'un autre. hein, non j'ai pas parlé d'un été ou d'un printemps.
En attendant, je me rend compte que depuis que je donne des cours de BD, je dissocie de plus en plus le dessin, de cet art narratif. La BD caillou en est le plus parfait exemple.
Je dessine avec des moufles gauche aveugles tout en arrivant à raconter des trucs.
Paradoxalement je n'ai jamais autant étudié le dessin et tout ce qui s'y rattache, des logiciels aux bouquins en passant par les nouilles aux beurre. Hein quoi les nouilles aux beurre s'écrivent sans "x"? Ouais... mais ça illustre bien cette magie de la BD qui permet tout sans rien.
Caillou.
Oh oui!
je tiens à remercier Bruno Bellamy pour le temps qu'il perd régulièrement à essayer de m'apprendre comment vivre en bonne entente avec Gimp.
Mais le chauffage va être mis dans les bâtiments publiques. Ce qui est un plus pour tous ceux et toutes celles qui se battent vainement avec des radiateurs récalcitrants depuis la fin de l'automne et le début d'un autre. hein, non j'ai pas parlé d'un été ou d'un printemps.
En attendant, je me rend compte que depuis que je donne des cours de BD, je dissocie de plus en plus le dessin, de cet art narratif. La BD caillou en est le plus parfait exemple.
Je dessine avec des moufles gauche aveugles tout en arrivant à raconter des trucs.
Paradoxalement je n'ai jamais autant étudié le dessin et tout ce qui s'y rattache, des logiciels aux bouquins en passant par les nouilles aux beurre. Hein quoi les nouilles aux beurre s'écrivent sans "x"? Ouais... mais ça illustre bien cette magie de la BD qui permet tout sans rien.
Caillou.
Oh oui!
je tiens à remercier Bruno Bellamy pour le temps qu'il perd régulièrement à essayer de m'apprendre comment vivre en bonne entente avec Gimp.
lundi 6 octobre 2014
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