Le métro au tout petit matin froid.
Un passager s'installe sur l'un des nombreux sièges vides alignés contre les parois d'une rame.
Assis seul, son visage gris soudain s'illumine. Il sourit.
1°Passager: Coin coin.
Un deuxième passager, s'assoit sur la même rangée de sièges.
Il s'étonne des bruits du premier voyageur...
1°Passager : Coin coin coin coin
Puis...
2°Passager : Coin coin coin.
La rame démarre dans un cliquetis accompagné de petits caquètements.
A l'arrêt suivant, une dame rejoint la rangée, parait gênée par le bruit des deux autres et...
Dame: Coin? Coin coin coin
1°Passager : Coi coin coin coin...
2°Passager : Coin! COINcoin coinc... Coin coin.
Rattrapés par un nouveau compagnon qui prend le dernier siège à côté d'eux.
Coin coin coin coin Coin coin coincoinccoin...
Pour Joe assis face à eux contre l'autre cloison, ça devient gênant.
Il referme un peu mieux son imperméable sur ses jolies plumes brunes, relève son beau et grand bec plat et fait semblant de rien.
A-t-il été repéré?...
(1) Inutile de chercher dans le dico, ou sur wiki.... en fait, je suis juste scénariste de bandes dessinées.
Mais comme, apparemment, peu de gens savent ce que c'est qu'un scénariste de BD, j'ai inventé un nom pompeux aux consonances de grand savant... ça ajoute du mystère à ce métier bizarre...
Qui suis-je ?
vendredi 23 septembre 2011
lundi 12 septembre 2011
Salade d'hibiscus bleu
Eté de merde.
D'abord j'arrive toujours pas à trouver la touche qui fait des "é" majuscule
Ensuite j'ai un peu tondu mon Hibiscus bleu.
Non...
J'ai franchement décapité ce putain de truc vert.
Mais c'est la faute du gazon.
Et de cet été de merde.
Entre la flotte et les rares rayons de soleil, le gazon avait prit des airs de savanes.
Et l'hibiscus bleu, une tronche de branches mortes.
Ma tondeuse s'est plantée et j'avais la tête ailleurs.
Vers un été sur l'île des pins par exemple...
Sinon, je hais aussi les ouvertures faciles en général et ces putains de paquets de croquettes pour chats qui veulent jamais la fermer facilement.
Demain ou un autre jours je parlerais des ennemis de l'humanité.
Entre les cintres haineux et les barquettes plastiques qui se déplient dans la poubelle pleine de trucs dégeux, il y a de quoi en trouver de ces ennemis de l'homme...
Moi en premier bien sûr.
Bye et bon tout.
D'abord j'arrive toujours pas à trouver la touche qui fait des "é" majuscule
Ensuite j'ai un peu tondu mon Hibiscus bleu.
Non...
J'ai franchement décapité ce putain de truc vert.
Mais c'est la faute du gazon.
Et de cet été de merde.
Entre la flotte et les rares rayons de soleil, le gazon avait prit des airs de savanes.
Et l'hibiscus bleu, une tronche de branches mortes.
Ma tondeuse s'est plantée et j'avais la tête ailleurs.
Vers un été sur l'île des pins par exemple...
Sinon, je hais aussi les ouvertures faciles en général et ces putains de paquets de croquettes pour chats qui veulent jamais la fermer facilement.
Demain ou un autre jours je parlerais des ennemis de l'humanité.
Entre les cintres haineux et les barquettes plastiques qui se déplient dans la poubelle pleine de trucs dégeux, il y a de quoi en trouver de ces ennemis de l'homme...
Moi en premier bien sûr.
Bye et bon tout.
samedi 10 septembre 2011
Paéla au poulet
Bon d'accord...
L'été n'a pas été formidable.
Pourrit?
Noooon. Les grenouilles et les éponges en tout cas en ont été très heureuses.
Et ma production... Puisqu'elle a été forcée d'aller trouver le soleil directement là où il grille bien et ne gondole pas le papier: L'Espagne.
Oui grand fou espagnophone, tu vas pouvoir t'offrir une pinte de bonne humeur en lisant "Doll's Killer" dans la langue de Tomas dé Torquémada.
Aussi file donc au soleil profiter de la plume de Sergio Bleda lors d'une de ses séances de dédicaces dont il a le secret.
Oh oui!
L'album es une compilation des deux Doll's killers à laquelle est ajoutée le synopsis traduit du troisième et dernier tome.
Voilà...
Pour le reste je bosse sur une foule de projets différents avec Déluge 2 en premières lignes.
Bye et bon tout.
L'été n'a pas été formidable.
Pourrit?
Noooon. Les grenouilles et les éponges en tout cas en ont été très heureuses.
Et ma production... Puisqu'elle a été forcée d'aller trouver le soleil directement là où il grille bien et ne gondole pas le papier: L'Espagne.
Oui grand fou espagnophone, tu vas pouvoir t'offrir une pinte de bonne humeur en lisant "Doll's Killer" dans la langue de Tomas dé Torquémada.
Aussi file donc au soleil profiter de la plume de Sergio Bleda lors d'une de ses séances de dédicaces dont il a le secret.
Oh oui!
L'album es une compilation des deux Doll's killers à laquelle est ajoutée le synopsis traduit du troisième et dernier tome.
Voilà...
Pour le reste je bosse sur une foule de projets différents avec Déluge 2 en premières lignes.
Bye et bon tout.
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